"Why so much hatred?"

Vous avancez à pas lourds dans ce lieu sordide. D'un geste rapide de l'annulaire gauche vous commandez un amoco-cadiz (coktail typique).
Vous tansez du regard le demenageur breton, celui-ci a donc compris que vous n'avez pas envie de rire; il arrête donc de se curer le nez et daigne vous inviter à vous asssoir en face de lui.
En quelques mots vous lui faites comprendre qu'ilferait mieux de cooperer sinon il devra regarder le journal des correspondants une semaine durant. En depit de son apparence rustre et barbare, ce demanageur est un doux rêveur, un sentimental dirais-je. Il vous apprend que son nom n'est autre que Hervé Ker-ho-chi-minh. Au cours de la conversation vous observez des signes de nervosité chez ce demenageur (breton, dois-je vous le rappeler?) en effet il ronge nerveusement le cendrier Ricard qui était posé sur la table. Vous le sentez, ilkl est prêt à crachr le morceau, mais il va falloir le travailler au cors, vous vous adressez à lui en ces mots : "toi, coco, tu vas manger chaud". Avant que vous ne puissiez continuer celui-ci fond en larmes et vous avoue que le film que Lou Païs refuse de rendre à Saint Phyton les Thermes Video Club n'est autre que la version collector de Spartacus. Vous laissez ce demenageur (breton) à ses larmes.

 


Vous interrogez la bigouden
 
Vous interrogez le jeune chiot
 
Vous interrogez Joe Pasta